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ENTREZ SANS FRAPPER

6 décembre 2007

ENTREZ SANS FRAPPER

 

  ENTREZ SANS FRAPPER

 

  Imaginons-nous dans le monde du futur. L’exploration d’une planète verte nouvellement découverte marque une nouvelle victoire pour l’Homme. On la suit minute par minute sur les écrans. Surprise fatale : on est remonté dans l’ère de l’Eocène : les ptérosaures sont dans l’air, les diplodocus sur terre et les mosasaurus dans les marécages. Ils foncent sur la fusée ! La fuite est éperdue. Les astronautes échapperont-ils à leur funeste destin ?   MAIS NON, AMIS,  

TOUTE LA PLANETE BLEUE N’EST PAS, NON PLUS, A VOTRE IMAGE.. !

 

 Dans l’état d’esprit de notre temps s’appliquer à traiter un sujet aussi sensible que l’IMMIGRATION, c’est s’exposer a une volée de critiques que l’INGENU QUI ROULA ne sous estime pas. N’est-ce pas, malgré tout, le DEVOIR d’un de ceux qui ont vécu ailleurs, d’expliquer ce qu’il connait.

 

 Commençons loin, depuis les temps préhistoriques des premiers groupes familiaux de l’homo sapiens. La femme garde la caverne où la tanière. Elle protège le gite, la nourriture, le feu et surtout les enfants, toutes griffes dehors. Elle se montre cajoleuse pour ceux qui l’entourent. L’homme chasse au loin pour ramener a sa famille la nourriture : baies, racines, gibier. C’est un prédateur guerrier qui possède le sens spatial. La peur du voisin limite son champ.

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 Ce comportement, cet équilibre de vie sociale dure depuis toujours. Il est fondamentalement naturel, ce qui n’a rien d’étonnant et se retrouve même chez certaines espèces animales.

 Vous pouvez l’observer encore chez vous et dans des groupes familiaux et humains venus de loin ; Doit-on alors s’extasier sur ce comportement qui pour certains justifie la vérité des Droits de l’Homme : tous les hommes sont frères et naissent libres et égaux ?

  Soyez un peu plus prudents. D’ou viennent ces nouveaux venus ?

 

  L’INGENU va vous rappeler notre passé et leur présent.

 

 Après beaucoup de batailles, de conquêtes, d’assimilation, donc de métissages, se sont forgés les hommes de notre temps. Pour nous, c’est le Français tel quel, qui nous entoure, descendant d’ASTERIX le gaulois grand parleur, comme sont différents l’Italien, le Grec, l’Anglais, l’Allemand, et bien d’autres ; vous le savez bien ; les terreaux et les terroirs sont différents. Retrouvons ce Français tel quel voilà moins de 200 ans. C’est souvent un paysan ancré dans sa terre qu’il défend, son seul avoir, son seul capital qui lui assure une vie stable qu’il transmettra a sa descendance. Il se marie jeune car il mourra tôt, cherche une femme qui apportera en dot son bien familial (souvent son seul courage) et ils auront beaucoup d’enfants (importante mortalité infantile)  que la mère paiera souvent aussi de sa vie. Notre ancêtre paysan fera alors un second mariage « intéressé » souvent, avec une proche comme sa belle-sœur qui saura maintenir la famille et le bien dans la vertueuse continuité forcée de la race paysanne. Tout était signé sur contrat par prudence et méfiance, alors que personne ne savait lire et écrire. Beau temps pour les scribes. C’était ça la vie dans nos campagnes.  

 Autrefois, on ne connaissait rien d’autre que son clocher et les générations n’étaient que répétitives, sans espoir de changement. Reconnaîtrions-nous maintenant comme un frère, cet ancêtre rustique, le notre, qui vivait à l’époque de la grande Révolution Française si brutale, et qui a tellement évolué depuis, souvent à coups de boutoirs ? On peut en douter !

  Nous étions, sommes et resterons des INDIVIDUALISTES.

 

  CESAR disait, parait-il, voilà 20 siècles: « En GAULE, il n’y a pas une ville, pas un village, peut-être pas une maison qui ne soit divisée par des factions »

 

 Cet état d’esprit n’a pas changé depuis des siècles et nous le partageons allègrement aux venus de fraiche date dont l’insolence, souvent, n’est pas limitée par notre scrupule de raison et leur permet de s’affirmer.

 

 Vers 1850 se développe la révolution industrielle qui tire nos paysans vers une vie meilleure souvent fonctionnarisée (Ah ! la sécurité d’emploi et de salaire). Les chemins de fer dans leur construction puis leur gestion en absorbent beaucoup, l’automobile, les mines, les usines chimiques et métallurgiques, etc.…se créent. Voilà autant de nouveaux pôles d’activité qui DERACINENT nombre de paysans et les parquent dans les premiers logements collectifs, qui vont devenir cités, où ils sont censément plus heureux que dans leur village. Ce sont maintenant des citadins souvent modestes, mais ils conservent la mémoire ancestrale de leur terroir d’origine et n’ont plus à le défendre..

  C’est induit dans leurs gènes, n’est-ce pas ?

 

 Hélas, la première guerre mondiale va accroitre ce déséquilibre. La ponction humaine est effrayante et le sol national dévasté. L’homme remplissant toujours les vides dans ces riches terres tempérées : les italiens vont repeupler la Lorraine et les polonais vont repeupler le Nord. Ils sont longtemps mal acceptés d’un peuple issu de paysans, crispé sur la phobie de l’étranger, mais on les retrouve a la sortie de la messe du dimanche, ce qui facilite l’assimilation.. Enfin, on ne les distingue plus ; ils parlent et vivent comme tout le monde. Ils deviennent français.

 

 La deuxième guerre mondiale, moins meurtrière pour nous, marque l’écroulement de l’esprit de NATION. On ne veut plus se battre pour la sauvegarder. On subit ! De nombreux citoyens sombrent dans la veulerie forcée de l’asservissement. Quelques héros sauveront l’HONNEUR. L’un d’eux essaiera même de redresser la fierté française. Au terme de cette tragique époque, la porte sera ouverte pour que la France perde son identité. L’entrée de l’étranger deviendra vite massive et on va la tolérer et l’accueillir sans contrôle. On en a tellement besoin pour reconstruire à nouveau un pays plus moderne sur les ruines du passé douloureux et l’on ne doute pas de notre capacité à en faire « d’excellents français» comme chantait Maurice.

 

 L’INGENU extrait du journal de Francis AMBRIERE prisonnier depuis cinq ans dans son stalag IXB, le jeudi 8 Mars 1945, le texte suivant : « Les Français sont d’ailleurs considérés par les Allemands comme les seuls qui soient indifférents à toute distinction raciale ou nationale, car alors même que chaque BLOCK ne renferme que les hommes d’un même pays, le notre comporte à la fois des noirs d’Afrique du Sud et des Etats-Unis, des serbes, des slovaques, des italiens et enfin des Belges. » C’était sans doute simplement généreux où indifférent à l’époque  en milieu hostile, voilà plus de 60 ans, mais cela montre une tournure d’esprit française encore plus actuelle.

  N’est-ce pas risqué de laisser entrer dans sa maison ceux qu’on ne connaît pas !

 

 Qui sont-ils ces immigrés pour qui notre pays est une terre promise, malgré ses imperfections ! L’INGENU va vous l’apprendre par quelques anecdotes.

 

 Nous sommes presque à la fin de la deuxième guerre mondiale. Nous montons, la peur au ventre, vers la ligne bleue des Vosges. Tirant leur âne chargé de butin, les goums des tabors marocains dans leur djellaba grise montent aussi. Ils sont sereins parce que fatalistes. Leur crâne est rasé, mais une longue mèche de cheveux aidera Allah à les tirer au Paradis où les attendent du beau monde. La vie terrestre n’est qu’un passage et pas le meilleur !.

 Sous un bombardement soutenu au canon, ils sont assis en rond et savourent leur thé, selon un cérémonial immuable que rien ne peut troubler Les tirs ne les émeuvent pas. « Mektoub, Inch Allah» ! Dieu seul connaît s’il doit frapper. L’Allemand n’est rien. On lui a déjà pris ses armes, poignard en mains. Et quand il se rend, cet ennemi hurle: « nicht maroccan ? ».Nous savons créer leur peur, donc nous sommes les plus forts ! Raisonnement fataliste !

 Seuls les soldats marocains du bled restaient ainsi, impavides devant le risque de mort. Les autres, venus des pays de l’Est du Maghreb, comme les tunisiens, étaient plus commerçants et généralement moins courageux. On leur confiait souvent la conduite des camions GMC.qui montaient au front. Leur fatalisme n’est pas différent ; il est donné par les ordres du Livre qui indique la voie sacrée : le CORAN lu par l’Imâm souvent seul lettré et qui peut orienter sa traduction orale vers une violence d’époque actualisée ; il peut inculquer le meilleur comme le pire.

  D’autres religions plus humanistes ne font-ils pas de même du passé. ?

 

 L’INGENU connaît bien ces marocains du bled où il travailla ensuite quelques longues années et les « moghaznis » anciens soldats qui l’accompagnaient ne parlaient guère de cette rude guerre mondiale qu’ils avaient vécue. Ils avaient enfin trouvé leur philosophie, la sagesse des braves vieux, les « chibanis » qui tentent souvent de calmer leur descendance excitée ; elle les écoute cependant  avec respect pour leur lointaine connaissance d’autres dangers, d’autres mondes.

  Ce peuple rustique et dur de l’Atlantique a ses mérites, sa culture ancestrale particulière, un sens de l’accueil de son invité, le respect des ancêtres, mais il peut vivre les emballements cruels de ceux qui ne craignent pas la mort, la leur et celle de l’autre.

  Des exemples douloureux restent en mémoire, peut-être à tort !

   Oublions-les et continuons.

 

 Voyez ces enfants du bled qui prolifèrent pauvrement dans les Ksour de terre crue et battue. Voyez ces enfants des médinas courant dans les ruelles et proposant éventuellement leur grande sœur. Leur seul jouet d’enfance est le caillou et la lutte sociale pour survivre sera acerbe. L’individu, seul, n’est rien et peut avoir un comportement soumis, sinon franc, mais quand il est intégré dans un groupe, une bande, il y trouvera la force grégaire souvent fructueuse et destructrice des prédateurs : le « rezzou », de tradition tribale ancestrale, qui reprend et redistribue la richesse prise à l’autre : le juif si proche et le chrétien sans défense.

  C’est dans les gènes ethniques de toute l’histoire des maghrébins.

 

 ILS ETAIENT, SONT (et resteront) GREGAIRES mais s’identifient, souvent par un  mimétisme encourageant, à nos comportements.

 L’harmonisation avec les INDIVIDUALISTES impénitents et frondeurs que nous sommes s’avère délicate, mais les GREGAIRES savent bien s’adapter et exploiter facilement l’esprit de contestation qui nous caractérise.

 Notre monde occidental est maintenant à leur portée. Ils sont venus nombreux s’y installer.

 Doit-on les accepter avec la mansuétude des « roumis», les romains sans autorité, en imaginant que, plus rapidement que nos paysans d’antan déracinés, ils vont s’adapter au monde actuel, si différent du leur, dans lequel ils ont plongé pour échapper à leur marasme endémique ?

 -Doit-on, malgré nos efforts, constater avec appréhension le risque d’échec d’assimilation d’une population bloquée dans ses us et coutumes et cherchant à les faire prévaloir ?

 La crainte de ségrégation communautariste reste évidente.

 

 Les cités construites pour satisfaire nos anciens paysans pauvres attirés par la ville sont devenues des «quartiers défavorisés», des «médinas».qui évoluent facilement vers les «cités interdites» maintenant leur style de vie traditionnel.

 Objectif raté des cités par une séparation naturelle de cultures trop différentes, mal acceptées. Cette situation ne permet pas l’optimisme.

 

 Soyons cependant prudents dans cette généralisation : notre longue histoire commune n’a pas toujours été conflictuelle chez eux ; Les familles savent être accueillantes à l’étranger de proximité (le srani !) et les problèmes diffèrent, par exemple entre les citoyens  du Maghreb et ceux du Makrech (Proche-Orient)  plus assimilables, comme sont les Turcs en Allemagne. Situation similaire chez les sud-américains retords qui envahissent l’Espagne sans problème linguistique.

 Souvent, une civilisation ancestrale, ayant une forme de culture, sans l’atavisme illettré des déracinés de médinas, contribue à leur facilité d’adaptation et d’assimilation.

 

Nous allons continuer notre voyage vers les tropiques

 

 L’Afrique tropicale est peu peuplée sauf sur le littoral foresté  qu’on appelle la Basse-Côte où golfe du GUINEE. .

 Les pays tropicaux en bordure du SAHARA, dans une conjonction de l’eau et du soleil, ont un climat très chaud et très sain. Le grand soleil brulant purifie tout ce qu’il touche. La vie humaine et la faune s’y perpétuent très bien. Le NIGERIA, par exemple, dans le golfe de Guinée, a une très forte densité de population : 140 habitants au Km2 dans un pays qui couvre 3 fois la France. 

 L’intérieur aride, semi-désertique a été conquis par les arabes à cheval voilà dix siècles, qui ont islamisé ces populations noires. Là comme chez eux, les arabes ont développé un sens aigu de crainte par une autorité et une hiérarchie détenues sans faiblesse par des chefs de tribus coutumiers, paternalistes bizutants dans leur autarcie forcée. La partie forestée bordant l’océan, plus difficile d’accès est animiste et fétichiste, mais souvent islamisée par contact. . Notons que les populations noires ont toujours un appétit sexuel marqué. Il est rampant chez les islamisés bien maintenus sous tutelle religieuse et tribale et triomphant chez les animistes sans hiérarchie marquée. Hommes du désert, cet appétit a une conséquence dramatique sous leurs oripeaux : les maladies intimes par manque d’hygiène. L’Erg et le Reg remplacent souvent l’eau des ablutions.

 

Toutes ces populations du désert sont clairsemées. Ces tribus isolées comptent des dominants et des dominés généralement asservis comme «esclaves» Cet atavisme peut avoir une origine lointaine : ces bergers sont très primaires et intégrés au troupeau.de zébus. D’autres tribus dites « haoussa » du nom d’une rive du Niger malien sont des grands noirs commerçants voyageurs. Ils vont très loin échanger leurs modestes produits et porter la bonne parole qui n’est pas toujours bien reçue. Ce sont les évangélistes de l’Islam africain.. D’autres comme les Ouolof de DAKAR ont depuis longtemps assimilé les techniques de l’occident par notre fréquentation maritime.. On y trouve de bons dockers, marins et mécaniciens entre autres. Ce sont ces populations faméliques et désespérées d’une vie sans but qui forment les boat peoples. Au péril de leur vie ils tentent de gagner l’Occident, via les Canaries et surtout la France, cet Eldorado ( ?) pour les francophones rêvant d’une autre vie plus intense et sécurisante.

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Finissons notre voyage sur l’Equateur.

 

  La grande forêt Equatoriale, très humide est chargée de miasmes et l’homme y résiste très difficilement ; il meurt vite. Cet homme vivait isolé dans la grande forêt en petits groupes familiaux qui  perpétuaient la race en allant se saisir au marigot, des femmes jeunes du voisin. Notre apport colonial a ouvert ces entités qui ont appris à se fréquenter et quelquefois vivre en paix. Etant presque nus à l’origine, parlant chacun leur dialecte et soumis au fétichisme, ces reclus de la grande forêt ont adopté facilement l’apport du colonisateur : vêtements européens, langue et religion selon l’origine de ces éducateurs par défaut, où volontaires comme le sont les missionnaires catholiques et protestants. .

 Imaginons ces hommes, qui ne connaissaient pas la roue, découvrant soudainement l’auto, l’avion et autres miracles de ces sorciers blancs. La première découverte du monde dit moderne provoqua l’admiration pour ce surhomme étrange qui apporta aussi la guerre, la vraie avec des kalachnikovs d’abattage en masse à la place des sagaies individuelles.

  Ce respect du «blanc» ne dura qu’un temps, mais c’est un autre sujet.

 

 Les femmes de ces pays malsains sont très peu prolifiques. La mortalité liée aux conditions de vie dans des pays humides et chauds, chargés de microbes, oblige a un renouvellement rapide des générations. La puberté est précoce, la fécondité faible.

 Cette obligation conduit a une sexualité débridée avec ses conséquences. Le géniteur est rarement connu et respecté comme père. La règle sociale est celle du matriarcat. On ne reconnaît comme lien familial que ce qui sort du même ventre. Cela ne veut pas dire que les femmes dominent la famille, mais que le mâle reconnu sera son frère issu de la même mère. Le chef de famille étant issu du même sang, peut être considéré comme le père des enfants de sa sœur où parente. La femme peut changer de géniteur en augmentant sa dot et avoir des enfants de plusieurs origines. Son mari peut aussi avoir des relations avec toutes les plus jeunes sœurs de sa femme. Nous laissons aux politiciens métropolitains le plaisir de dénouer cet imbroglio dans leur recherche d’identification du père, de la mère et de leurs enfants respectifs, par ADN. C’est possible, mais pas au nom des droits de l’Homme…..occidental.

 Vous avez deviné que le sida a explosé dans ces conditions. D’autres maladies comme le pian sorte de lèpre atténuée (dite maladie de la crasse)  et la tuberculose affectent.ces populations à risque. Le bain dans les rivières proches sauvegarde un peu une hygiène incertaine ailleurs.

 

 L’INGENU arrive au terme de son développement sur l’IMMIGRATION africaine. Il voit avec tristesse ces pauvres gens cherchant à s’implanter, quelquefois dans la colère dans notre monde si distant du leur. Dans un élan de générosité, certains veulent les assimiler. Quel beau mélange, où métissage prépare le monde de demain, dites-vous ? Erreur.

Ces minorités de l’avenir poseront des problèmes insolubles : les arabes n’aiment pas les chrétiens, leurs riches concurrents de l’histoire méditerranéenne qui les avaient contenus et ils reconstituent dans les cités de nos villes leurs médinas traditionnelles. ; Les noirs n’aiment pas les «blancs», ça sent le cadavre et ils restent entre eux, dans une ambiance gaie, insouciante, chantante et dansante.. Voyez leur communautarisme, dans le sud du Maroc, Porte de Namur à Bruxelles, où à la Nouvelle Orléans, parmi mille autres dans le monde.  Ne les voyez-vous pas chez nous regroupés dans leurs ethnies ?

   Ce sera l’héritage ingrat de notre époque, de nouveaux îlots, que nous allons léguer aux enfants de notre pays. Vont-ils, à terme, nous remercier ?

 

Les problèmes posés actuellement par ces immigrés hétérogènes entrés en France souvent de leur seule décision et heurtant la population indigène française méritent une ébauche d’explication.. Peut-on tenter de leur faire accepter un comportement social ? Comparons les méthodes de différents pays.

 

 Nous parlerons peu de l’Afrique Noire, avec ces pauvres esclaves qui rampent physiquement devant le puissant lamido musulman où les anarchisants sans Histoire de la grande cuvette du CONGO apeurés devant leurs fétiches affreux..

 La gendarmerie marocaine, premier exemple est très autoritaire. Elle représente la royauté ce qui ne se discute pas. L’assujetti « meskin » baise la main de celui qui détient le pouvoir par respect et soumission ; celui-ci retire sa main avec violence C’est la tradition inféodée..

 La Guardia civil espagnole ne plaisante pas. Remugle du franquisme où règle de discipline pour mater un pays chargé d’une lourde histoire et facilement contestataire comme tous les méditerranéens? No se, mais la contestation est inutile.

 Au Nord, dans les régions du « platt » la discussion est aussi prohibée. Le gendarme au «grand képi» qui le rend plus impressionnant reste bouche cousue et n’entend pas entendre vos arguments. Il applique la loi c’est tout, sans un mot d’échange.

 En Allemagne aucune faiblesse. Les moyens puissants des «schupos», de la « polizei» et la feld gendarmerie sont dissuasifs. Le « goot organizir » ne s’encombre pas d’états d’âme. Ils foncent avec leurs voitures « porches » puissantes. Le fautif est laminé par le système brutal.

 En Angleterre les « bobbies » au massif casque noir sur un uniforme noir et des damiers bien visibles maintiennent leur autorité par flegme et paternalisme.

 Vous connaissez déjà les méthodes musclées des cops aux USA par les séries télé. Mieux vaut ne pas commettre d’infraction dans ce pays  Mains sur le pavillon et fouille dans le dos, arme au poing. La matraque est aussi un outil de dissuasion.

 Et maintenant en France et souvent en Belgique, on a oublié le dicton :

 « la peur du gendarme est le commencement de la sagesse ».

 Vive la police de proximité, , dont le rôle est d’ éduquer : nous sommes dans un état de droit au bon cœur partagé, où les flics jouent aussi au foot avec n’importe qui, même délinquant, sont chargés d’amadouer les grands frères pour se montrer plus proches de ces pauvres jeunes gens, qu’ils sont chargée de protéger contre eux-mêmes et qui les exècrent souvent. La police de proximité a un rôle d’éducation républicaine. Concluez !

 

RAOUL LETHUAIRE

 

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